Ce 28 janvier, c’est le cinéaste Nabil Ben Yadir qui nous parle du tournage qu’il vient de terminer pour Netflix. La seconde saison de la série « Into the Night » lui a été confiée et c’est avec d’innombrables anecdotes qu’il nous raconte cette expérience à laquelle ont collaboré un tas de personnes venues de tous les horizons. Travailler avec Netflix signifie se plier aux exigences d’exactitude américaines, à une culture cinématographique qui ne laisse rien au hasard. Nabil insiste aussi sur l’incontournable nécessité de pouvoir s’exprimer en anglais lors d’un tournage, cette langue qui permet à tous de communiquer et mener un projet ensemble.
Après le déjeuner, les jeunes partent au Photo Brussels Festival à Ixelles, une belle et bonne exposition qui offre aux jeunes un aperçu de ce que permet l’image photographique, tant au niveau du sens que de la forme. Alexandre Christiaens, qui les accompagne, attire leur attention sur l’organisation d’une image, le point focal, le cadrage et les profondeurs de champ. Bonne résonnance !
Le 2 février, l’historienne Athéna Tsingarida vient partager notre repas de la Chandeleur. Professeure à l’Université libre de Bruxelles, archéologue et spécialiste de l’Antiquité, elle nous rappelle à quel point le passé peut nous éclairer sur le présent et le futur. Mais comment aborder l’histoire des civilisations anciennes ? Parfois, ce sont des détails de la vie quotidienne qui nous éclairent plus que les dates des grands événements, qui nous indiquent aussi combien de multiples influences ont enrichi toutes les époques. La manière dont les hommes ont évolué dans leurs habitudes alimentaires en est un bon exemple !